dossier du mois:

THÉRAPIES VARIÉES :

1. "Holistique" et "homéostasie", qu'es aquo?
2. Une vision holistique pour rassembler des synergies
3. L'analyse du corps par Biorésonance
4. Communiquer sans violence, ça peut s'apprendre
5. Le "Bain de Forêt": une attitude, une intention
6. Rencontres spirituelles à St-Sabin

Le premier article de cette newsletter emploie beaucoup le mot "holistique". Et en effet c'est un caractère qu'on attribue fréquemment à toutes les thérapies douces. Le mot est tiré du grec ancien "holos", qui signifie "entier". On peut le rapprocher de "hologramme" qui reproduit un élément en entier, avec ses trois dimensions.

Concrètement, cela signifie que le thérapeute "holistique" considère l'organisme humain comme un ensemble, et que tout signal du corps peut être interprété comme un problème d'ensemble, qu'on devra essayer de résoudre. Par exemple, le physique et l'émotionnel sont évidemment liés. Et beaucoup de dysfonctionnements ont des causes psychiques.

Le deuxième article parle, lui, d'une notion complémentaire qui est l'"homéostasie": de "homéo" =semblable et de "stasie" =stabilité. L'homéostasie est donc "la capacité d'un système à conserver un état relativement stable malgré des changements intérieurs". C'est ainsi qu'une faiblesse du corps va être compensée par une compensation interne ou externe. Jusque bien sûr à la limite où quelque chose va craquer, mais peut-être justement pour préserver le reste. Et inversement, toute amélioration d'un élément va rebondir sur les autres.

Cela veut dire  que des approches diverses sont tout à fait possibles: le soin physique peut soigner le psychisme et réciproquement. Le plaisir peut redonner de la vitalité aux fonctions organiques.

Ce regroupement veut signifier que tous ensemble, nous avons la possibilité d'accompagner dans sa guérison l'être humain sur ses différents corps: physique, énergétique, émotionnel, mental, éthérique, etc.. Car le corps physique n'est que la face visible de l'iceberg. Traiter le symptôme physique uniquement par du médicament chimique est une médecine de dernière minute qui déplace souvent la problématique.

La vision holistique n'est pas nouvelle, les médecines ancestrales (Hindoue, Chinoise, etc.) considéraient déjà l'être humain de cette façon depuis la nuit des temps. Nous revenons simplement à ces vieilles sagesses trop vite oubliées. Nous pouvons ainsi traiter des nœuds et des blocages avant qu'ils ne se déclarent comme des maladies du corps physique.

Je suis thérapeute et coach en énergétique "Rythme d'essence" qui est une approche purement holistique du soin énergétique. Je considère l'être humain comme un mouvement complexe et je l'aborde à chaque séance dans sa globalité et dans sa sensibilité propre. 

Une séance de Rythme d'essence, c'est un voyage entre tous ces corps et un chemin qui mène à prendre la responsabilité de son être à tous ses niveaux. Un chemin vers soi-même dans la joie et la douceur, vers une connaissance plus approfondie de ses fonctionnements, et ainsi, vers une réelle autonomie et vers sa propre souveraineté.

Avant de comprendre l’utilité de la Biorésonance, il faut savoir que le corps d’un adulte moyen est constitué de  100 000 milliards de cellules de 300 sortes différentes. Elles contiennent toutes de l’information. Toutes les cellules animales, humaines, végétales émettent des bio-photons à très faible luminescence et qui sont porteurs d’une information.

Le corps humain est ainsi une véritable antenne émettrice et réceptrice à l’extérieur comme à l’intérieur. La communication des cellules se fait par voie biochimique, bioélectrique, mais aussi par voie bio-électromagnétique.

Donc, quand il y a un transfert de champs électriques, on a un courant électrique. Et quand il y a un courant électrique, il y a un champ électromagnétique. La matière est à la fois corpusculaire et ondulatoire. L’information est l’élément structurant de la matière et du vivant.

Alors, quand il y a une problématique, un terrain qui se dégrade, bien avant l’apparition des symptômes et ensuite de la maladie, il y a des échanges d’énergie information dans le corps, c’est ce que l’on appelle l’homéostasie.

Un examen complet et indolore

L'examen de biorésonance est entièrement indolore et pourtant très complet et approfondi, en 45 minutes environ. On se met sur les oreilles des écouteurs apparemment banals. En fait ce sont eux qui vont sonder les différentes parties du corps en analysant leur écho de "résonance" aux ondes fines qu'ils envoient. Un écran d'ordinateur permet de suivre à mesure les analyses. Les différentes parties du corps défilent et se couvrent de points de couleur qui indiquent leur état de fonctionnement ou de faiblesse. Des causes sont généralement proposées par l'appareil. L'analyse est à la fois spatiale (du haut du corps vers le bas), mais aussi plus ou moins profonde dans les tissus, jusqu'à l'ADN. L'examen dure environ 45 minutes. Le coût de la séance est plus élevé qu'une consultation traditionnelle. D'une part à cause du coût du matériel utilisé. D'autre part à cause de la durée conjuguée de l'examen et de l'interprétation qui la suit.

Des propositions d'améliorations multiples

Après l'étape de l'analyse, l'appareil peut opérer certaines remédiations, en envoyant des ondes rééquilibrantes à tel ou tel secteur. Les améliorations obtenues sont signalées en pourcentage. Les causes indiquées permettent aussi au thérapeute de conseiller des remédiations traditionnelles de naturopathie: modification de l'alimentation et de la vie quotidienne, prise de compléments alimentaires, homéopathie, phytothérapie, lithothérapie ou encore soins manuels, de réflexologie par exemple.

Reste la question de la durabilité de ces remédiations, comme tout soin médical ou thérapeutique. Frédéric Jourdan propose une deuxième séance 3 semaines plus tard pour mesurer les évolutions. On peut aussi concevoir de passer un examen de biorésonance 2 ou 3 fois par an, pour vérifier son état général et renforcer les parties faiblissantes avant des dysfonctionnements plus graves. En fait l'examen de biorésonance est si complet qu'il propose des améliorations trop nombreuses pour être traitées en une seule fois.

François Bassaget

"Pour déjà mieux vivre avec mes enfants"

Depuis quelques années, Sandra Mounier a quitté son métier d'éducatrice sportive pour se former et devenir coach, médiatrice et formatrice en CNV: "Je me suis toujours interrogée sur les relations et sur la place que chacun pouvait y prendre, en sortant de la relation de pouvoir, pour vivre le respect de soi et de l’autre. C'est pour devenir une maman plus bienveillante que j'ai entrepris de me former à la CNV. Je me sentais démunie avec des aspirations bienveillantes et des tonnes de livres sur le sujet, mais hélas rien de pratique. En découvrant la CNV en 2015, j’ai découvert des outils concrets et pratiques pour vivre ce à quoi j’aspire. Et mes enfants remercient Marshall Rosenberg!"

"Une bonne relation a la capacité de soigner"

"Professionnellement, je suis aussi très heureuse de ma reconversion. Je me sens utile en permettant de mieux vivre à des individus, des couples, des familles, des classes, des équipes d'entreprise… Les rencontres deviennent vraies, et je me rends compte que la relation a la capacité de soigner et que tout être humain a, au fond de lui, désir et plaisir à rendre service aux autres. Mais à condition, bien sûr, d'arriver à prendre conscience des besoins fondamentaux qui nous animent. Autant pour les autres que pour nous-mêmes, et inversement. L’évolution dans nos manières de communiquer est indispensable pour plus d’harmonie et de convivialité."

Apprendre à s'exprimer et à écouter

La Communication Non Violente part du principe que toute vie, végétale, animale ou humaine, fonctionne sur des besoins. Des besoins physiologiques bien sûr (nourriture, espace vital…), mais aussi sociaux (de type chaleur humaine) ou spirituels (reconnaissance, justice, estime de soi, épanouissement…). La CNV en reconnait ainsi jusqu'à 240.

Et selon que ces besoins sont plus ou moins satisfaits, on éprouve des "sentiments", également très variés, comme la lassitude, la tristesse, la colère, la peur, la satisfaction, la paix, la joie… Ainsi, tout sentiment, quel qu'il soit, a donc une cause explicable, et à priori justifiée par la recherche de satisfaction d'un besoin.

Reste à gérer dans ces moments-là notre attitude par rapport à ceux que nous rencontrons. La CNV nous invite à observer ce qui se joue chez nous, voir ce qui il y a d’important en nous pour pouvoir transformer les jugements que l’on a sur la ou les personnes qui ont été le stimulus de l’action. Priorité à l'expression de son propre sentiment et de ses propres besoins.

Et, pour l'interlocuteur, conseil de savoir d'abord écouter et si possible avec empathie. Car l'écoute, de ce qu'on veut vraiment, ou de ce que l'autre veut exprimer, cette écoute est primordiale des deux côtés et permet donc après, comme dit le langage courant, de "s'entendre". Des solutions coopératives peuvent alors être trouvées pacifiquement.

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Divers ateliers

Actuellement, Sandra Mounier anime deux ateliers mensuels de groupes pour pratiquer la CNV: un atelier pour débutants certains mercredis de 18h à 20h30; un pour confirmés certains mardis.

Elle assure aussi des entretiens individuels et des médiations familiales ou professionnelles.

Elle souhaiterait aussi pouvoir offrir à des parents ou à des éducateurs des occasions pour ne pas oublier de prendre soin d'eux-mêmes "dans cette période qui leur demande beaucoup d'énergie".

Le bain de forêt permet d’installer notre corps et notre esprit dans un état de calme et de détente. Nous devons aussi y être pleinement conscient(e)s de l’endroit où nous nous trouvons et de ce que nous y vivons au moment présent. Il vise une prise de recul et un lâcher prise et ne se départit pas d’une ouverture possible à une meilleure connaissance de soi.

Plusieurs éléments caractérisent les bains de forêt et les distinguent de la randonnée ou des autres activités de plein air:

- se détacher des attentes

- apprendre à recevoir

- se laisser surprendre

- accueillir les cadeaux offerts par la forêt grâce à nos sens: sons, paysages, énergies...

- recevoir un aspect de la communication avec le monde au-delà de l’Humain par la connexion avec les arbres

Les bains de forêt impliquent une relation, une INTENTION, une quête permanente de ce qui signifie faire partie d’un réseau reliant tous les êtres vivants.

Oui, mais concrètement?

Les bains de forêt que je propose se déroulent de la façon suivante: 

AVANT:

Un parcours favorisant une progression fluide et aisée est préalablement défini afin de permettre aux participants d’évoluer librement sans effort et sans contrainte.

Un point de rendez-vous offrant un espace suffisant pour se rassembler est repéré en amont.

Une fois, les participants réunis (il peut également s’agir de séances individuelles), un temps de présentation et d’échanges ainsi que des préalables sont partagés pour assurer le bon fonctionnement du groupe: la présentation de la séance, le cadre horaire, les règles, les points pratiques...

Rappel: le bain de forêt est empreint de lenteur et celle-ci s’impose, avec le silence, comme une règle fondamentale.

PENDANT:

Le bain de forêt commence alors avec le passage d’un seuil de connexion repéré par toutes et par tous pour indiquer que le groupe pénètre dans le royaume de la forêt et que le silence devient le principal compagnon de route.

S’ensuivent alors un certain nombre d’invitations, comme autant de champs d’expérimentation:

- des temps de connexion aux arbres par la rencontre directe.

- des marches aux différentes formes (en aveugle, pieds nus, en arrière...).

- des pauses pour se relier à nos capacités sensorielles et à notre qualité de présence.

- des temps de création (Land Art, écriture, sons...).

- des méditations.

La sophrologie, que je pratique quotidiennement à titre personnel et professionnel, constitue une précieuse alliée pour juguler un stress, pour accueillir les émotions qui ne manquent pas de s’inviter, pour accéder à une dimension plus contemplative. Elle prend sa place dans le bain de forêt sous forme de séances courtes, ludiques et/ou méditatives.

Chaque invitation est suivie d’un temps de parole libre et protégée par une règle de confidentialité définie au cours des premiers temps d’échanges. La mise en mots de l’expérience vécue, mais surtout des ressentis qu’elle a suscités, fait, comme en sophrologie, partie intégrante de la méthode.

APRES:

Le groupe terminera le bain de forêt en remerciant la forêt de son accueil et en passant un seuil de déconnexion marquant le retour "à la vraie vie"... semblable mais certainement un peu différente.

Un feed back est également important pour partager ce que l’expérience a apporté à chacune et à chacun.

Les Samedis
  07 mai et/ou 04 juin et/ou 25 juin et/ou  02 juillet 2022
De 9h30 à 17h00
70 euros  (Repas tiré du sac)

Visiter un site énergétique avec Christine Larue n'est pas une visite ordinaire. Si vous voulez une leçon d'histoire, prenez-là plutôt avant ou lisez les panneaux explicatifs s'il y en a. Et, toujours avant de vous décider à y aller, assurez-vous que vous être prêt à vous ouvrir à ce qu'il y a au fond de votre âme: que vos mots/maux, révélés par le symbole, puissent résonner en vous et qu’ils fassent sens, afin d’accueillir les conseils et les bienfaits du monde invisible qui nous entoure.

À St-Sabin, par exemple, Christine Larue s'est d'abord saisie de ses baguettes pour se laisser guider tout au long de la visite par les ondes qui voulaient bien les affecter. Car tout site fort est pour elle un lieu de communication privilégié avec un autre monde: les énergies du lieu, celles des auras physiques de la nature (arbres, rochers…), celles des éléments (bois, feu, eau…), de l’Esprit et du Cosmos. Il en est ainsi en principe des sites naturels que des sociétés très anciennes ont pu trouver ressourçants ou émouvants, et où parfois le christianisme a implanté ensuite un édifice. C'est un peu le cas à St-Sabin qui a fini par devenir lieu de pèlerinage local.

C'est les baguettes dressées positivement au niveau du chakra du cœur, que Christine guide l'itinéraire, sur les sentiers d'accès ou dans les méandres du site, au fil de sa connexion d’âme à âme avec à la fois le lieu et le groupe.

Par moments, la rotation de ses baguettes indique un arrêt nécessaire. Soit auprès d'une âme de rencontre, soit devant un esprit gardien du lieu, soit pour positionner chacun à un endroit particulier. Chaque arrêt devient une occasion de s'interroger sur soi, sur nos souffrances, nos problématiques, nos recherches, nos visions de nous-mêmes et du monde. Chaque arrêt à un endroit doit attirer notre attention sur quelque chose qui nous concerne et qui a quelque chose à nous apprendre. À nous apprendre et à nous pénétrer: de calme, de force, de nouvelle énergie, d'émotion éventuellement, de malaise plus rarement...

À St-Sabin, notre groupe a ainsi lentement cheminé sur le chemin d'accès, a demandé son accord aux gardiens du lieu pour franchir les "portes" en conscience.

Autour de la chapelle, nous nous sommes trouvés interrogés dans nos problèmes passés ou présents. Nous nous sommes prosternés autour de la source qui ne tarit jamais et nous avons trempé nos mains dans son eau, pour mêler les eaux de nos corps à celles de la Source et de l'Esprit de l'Eau.

Nous avons pris des forces sereines autour du gros arbre mort qui rayonne encore une grande puissance.

Nous avons pris conscience de notre grandeur et de celle du monde devant le sublime paysage. Nous nous sommes rechargés sur un endroit cosmique. Nous avons médité devant une sorte de cimetière végétal féerique...

Nous sommes rentrés en tranquillité d'âme, nous sentant plus forts et n'ayant pas forcément besoin de nous en justifier. Avec donc l'impression d'avoir renoué un contact avec l'énergie qui nous anime et anime le monde, et que nous avons souvent tendance à perdre de vue dans notre quotidien moderne et citadin.

François Bassaget

Le site de St-Sabin

Le site de St-Sabin est un balcon du massif du Pilat à 1120 m. d'altitude au-dessus de la vallée du Rhône et face aux Alpes, sur la commune de Véranne.

Il a été d'abord au moins un point de refuge fortifié par une enceinte de pierres entre 2500 et 500 avant J.-C. On y trouve aussi une pierre à cupule peut-être sacrificielle.

Une première chapelle aurait été bâtie à l'emplacement d'un édifice païen vers le 4^e siècle. Une nouvelle chapelle y est édifiée entre le 13^e et le 14^e siècle. La chapelle actuelle date des années 1600.

Le saint Sabin le plus connu était un évêque de Toscane, martyrisé en 301. Le pèlerinage local dédié à St-Sabin, le lundi de Pentecôte, avait pour objectif la protection des animaux d'élevage.

Le site dispose d'une source permanente et de divers endroits à magnétisme particulier. Au niveau végétal, on y trouve l'alchémille des Alpes appelée aussi Herbe de St-Sabin.

www.vertanes.fr/histoire-saint-sabin

La "Médecine Symbolique"

La "Médecine Symbolique" est une appellation créée en 2006 par Rose et Gilles Gandy, qui l'ont définie comme "une médecine de l'âme s'adressant à la conscience des individus". Ils sont partis des phénomènes ressentis dans les habitats par leurs baguettes de sourcier. Ils se sont aperçus qu'en fait, les baguettes parlaient surtout des habitants pour les éveiller à leurs mécanismes personnels inconscients et problématiques. En fait, la Médecine Symbolique s'intéresse finalement surtout à aider les personnes à découvrir les problématiques qui les gênent pour les aider à harmoniser leur existence.

En situation de recherche, le ou la thérapeute ne sert que d'intermédiaire entre la personne et un monde invisible qui semble capable de l'aider. Les baguettes à angle droit, outil indispensable et unique, donnent des indications basiques mais précises. Tenues en souplesse, elles vont se fermer ou s'ouvrir, pour répondre oui ou non à des questions; ou tourner ensemble à droite ou à gauche pour montrer une direction à suivre. Elles peuvent ainsi pointer un lieu ou un objet au symbolisme important. Ou réagir à un mot particulièrement révélateur.

Ainsi, peu à peu, au fil de son questionnement, le ou la soignante peut aider la personne à exprimer ce qui la gêne. Ces prises de conscience restent indispensables pour permettre une évolution positive. À condition quand même que la personne ait envie de savoir et accepte ensuite de modifier quelque chose dans son existence ou ses relations. Ainsi peut-on progresser peu à peu avec l'aide de la Médecine Symbolique, qui permet en fait de se relier à un monde "invisible" qui semble vouloir nous guider sur un chemin d'harmonie.

voir le site de Rose et Gilles Gandy: www.medecinesymbolique